Au Ghana, les manifestations prévues contre le coût de la vie entre le 31 juillet et le 6 août dans la capitale Accra sont interdites. Elles ont été empêchées par la haute cour du Ghana.
Les manifestations des organisations de la société civile contre le coût de la vie n’auront finalement plus lieu. Une demande de la police ghanéenne visant à les interdire a été approuvée par la juge Abena Afia Serwaa de la Haute Cour.
Au Ghana, la police évoque un manque de personnel
La police indique qu’elle manque de personnel nécessaire pour assurer la sécurité des manifestants. Ce manque est dû au déploiement des agents pour encadrer les rassemblements politiques dans le cadre de la campagne électorale comptant pour les prochaines élections.
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Les organisateurs attendaient plus de deux millions de personnes dans les rues dans le cadre de ces manifestations. Ils souhaitent davantage de mesures contre la corruption, l’amélioration des conditions de vie et protestent contre les retards dans la signature du projet de loi anti-LGBT.
« Les jeunes sont prêts à manifester avec ou sans l’approbation des autorités », a déclaré Mensah Thompson, organisateur de la manifestation.
Au Ghana, l’élection présidentielle est prévue pour le 7 décembre prochain.
