Ce vendredi 13 octobre, un homme issu de l’immigration, est entré dans un lycée à Arras dans le nord de la France, et agressé les occupants avec un couteau. Un professeur a été tué et deux autres personnes blessées. L’assaillant aurait crié aurait « Allah Akbar » au moment des faits.
Le drame qui est survenu ce matin a ému toute la France. Le président Emmanuel macron s’est rendu sur les lieux, et des politiciens notamment Eric Zemmour, ont dénoncé la politique migratoire de la France, notamment l’immigration musulmane.
L’immigration pointée du doigt
L’assaillant, un jeune homme de 20 ans a été interpellé par la police. Il s’agit d’un ancien élève du l’établissement. Le jeune homme était fiché S selon les sources policières, c’est-à-dire qu’il faisait partie des personnes qui menacent la sûreté de l’État et donc surveillé. Il était sous la surveillance, notamment de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI).
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L’assaillant d’origine tchétchène, aurait crié « Allah Akbar » au moment de son acte. Il a attaqué mortellement un enseignant qui s’est interposé alors qu’il « cherchait un prof d’histoire », a raconté un rescapé. Un autre enseignant ainsi qu’un agent du lycée ont été blessés par l’assaillant. Aucun élève n’a été touché. Le frère de l’agresseur, âgé de 17 ans, a été aussi arrêté, à proximité d’un autre établissement.
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Sur les réseaux sociaux, notamment X, les débats ont tourné autour de la famille de l’agresseur. Plusieurs internautes indiquent que sa famille devait être expulsée de France en 2014, mais le Parti communiste français (PCF) ainsi que des associations, « pro-migrants », de défense des sans-papiers ont fait pression sur la préfecture pour annuler cette décision.
L’immigration clandestine est donc clairement pointée du doigt et le politicien Eric Zemmour n’a pas hésité, dans une vidéo diffusée sur X, à la dénoncer. « L’immigration porte chez nous la guerre de civilisation comme la nuée porte l’orage » a déclaré le journaliste et homme politique. Il a réitéré son appel à « arrêter l’immigration» et expulser « tous les fichés S islamistes » de France. Arrivé sur les lieux, le président Macron a regretté que « le terrorisme islamiste ait encore frappé ».
La Rédaction
